En 2008-2009, le fonctionnement de l’Assemblée nationale a subi de nombreux – profonds ? – changements. Avant de nous pencher sur la genèse de cette réforme, nous nous interrogerons sur les présupposés de cette réforme.
Si l’on éprouve le besoin de réformer, c’est parce que
1) l’Assemblée est coupable ( victime ? ) d’un certain nombre de maux auxquels il faut remédier;
2) l’Assemblée continue – malgré tout – à remplir des fonctions indispensables pour la société et la démocratie.
En fait, ce sont les députés eux-mêmes que nous interrogerons car les analyses ci-dessous prennent appui sur le discours même des députés tel qu’il est retranscrit dans le Compte-rendu intégral des débats.
Nous étudions ici le premier attendu : de quels maux souffre l’Assemblée nationale ?
page 2 :
l’éternelle complainte du député
page 3 :
le « poids de l’exécutif »
page 4 :
la « boîte à outils » de l’« exécutif »
page 5 :
l’obstruction
( « maladie infantile de la démocratie parlementaire »)
page 6 :
l’« inflation législative »
page 7 :
sur ces thèmes, on peut lire aussi ( sur ce blog )